Rien, noir, c’est une plaie
Je te sens, tu me ressens
À Ton étoile que j’aimais
À cette chevelure de sang.
Il me reste encore le cœur
Que je vais m’écorcher
Que je vais décrocher
Qui va bientôt se casser.
Partons ! Oui
Suis moi dans cet Univers
Entre deux Journées sans nuit
D’un fabuleux gésier.
Saloperie, friandise
À Ton étoile !
À l’horizon le voile
À la peinture de ma toile.
Je ne sais de toi
Que cette moitié de visage
Que cette triste lumière qui s’étant en moi
En silence, je resterais sage.
Drogué
Inaccessible
Risible
Femme affable.
You… are…
They… are…
I am in love…
Whithe you...
Je ressens la chaleur du soleil,
Une image, fugace transcende celui que je suis
Le sourire doux et réconfortant de cette fille
Que je ne connais pas
Et qui me fait encore sourire.
Comme quoi, le bonheur tient à peu de chose
Seulement une bonne dose de sentiment pur
Du respect de soi et de la croyance en la réussite.
Comme une pensée heureuse, je te garde dans ma mémoire
Dans mon souvenir, j’élève ma Pensée.
Pour percevoir le calme de mon cœur
Et pour comprendre les mécanismes de cette peur.
Un doute qui se maîtrise, qui se volatilise de ma conscience
Car la Tristesse passe sur moi sans laisser de trace.
J’ai peut être trouvé la solution à mon bonheur
Choisissant mes propres pensées heureuses,
Laissant s’écouler les autres.
Merci de cet instant jeune fille qui m’a sourie.
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