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Au bout du chemin...

le 23-04-2009 11:08

Enflamme moi

 
 
 
J’aime brûler dans les étoiles
Me cramer à la lueur du Sacrement.
Accable moi, l’infini
Trou moi Crevard
Plume d’oiseau et haine d’Espoir.

Longtemps… longtemps.
Hulule moi mon Cœur
Hurle moi Araignée du monde Enrique.
Émotions ! Longueur de la Vie. Si tu travail t’es mort.
Si tu crèves, c’est ton seul moyen de rester parmi les vivants.

Si tu gueules, TA GUEULE !
Qu’on te dis.
Alors, baby, laisse moi
Crever sous la Moon Light.
Écorcher de cette prison de chair.
C’est la Fin du Siècle.

Tout va trop vite,
Tout s’écoule par ce putin de trou
Qui perce mon Cœur et qui détruis ma Vie
Grandi qu’on me dis
D’accord j’ai dis
Mais tu me suis.

Y_Y

Tu me révoltes,
Tu me dégoûtes,
Tu me redoutes,
Alors viens chez moi Bloody Body
Je t’arrangerais ça
En deux ou trois coups de ciseaux.
Par ci.
Par là.

Je te ferais des centaines de petits trou
Pour me venger.
Depuis peu, je suis différent,
Quoi ça te choque ?
Quoi tu m’envies ?

L’Injustice de ma Vie
C’est toi chérie.
T’excuse pas
C’est ma faute.
Je veux la paix,
Alors,
Vade in Pace !

J’ai le blues,
Le Spleen,
Je t’aime.

Tu dis quoi ?
 
 


 
 
le 23-04-2009 11:04

C'est une plaie.

 

 

 

 

 

Rien, noir, c’est une plaie
Je te sens, tu me ressens
À Ton étoile que j’aimais
À cette chevelure de sang.

Il me reste encore le cœur
Que je vais m’écorcher
Que je vais décrocher
Qui va bientôt se casser.

Partons ! Oui
Suis moi dans cet Univers
Entre deux Journées sans nuit
D’un fabuleux gésier.

Saloperie, friandise
À Ton étoile !
À l’horizon le voile
À la peinture de ma toile.

Je ne sais de toi
Que cette moitié de visage
Que cette triste lumière qui s’étant en moi
En silence, je resterais sage.

Drogué
Inaccessible
Risible
Femme affable.

You… are…
They… are…
I am in love…
Whithe you...

 


 
 
le 23-04-2009 11:01

Conscience au sommet de la montagne.

 

 

Je ressens la chaleur du soleil,
Une image, fugace transcende celui que je suis
Le sourire doux et réconfortant de cette fille
Que je ne connais pas
Et qui me fait encore sourire.
Comme quoi, le bonheur tient à peu de chose
Seulement une bonne dose de sentiment pur
Du respect de soi et de la croyance en la réussite.

Comme une pensée heureuse, je te garde dans ma mémoire
Dans mon souvenir, j’élève ma Pensée.
Pour percevoir le calme de mon cœur
Et pour comprendre les mécanismes de cette peur.
Un doute qui se maîtrise, qui se volatilise de ma conscience
Car la Tristesse passe sur moi sans laisser de trace.
J’ai peut être trouvé la solution à mon bonheur
Choisissant mes propres pensées heureuses,
Laissant s’écouler les autres.
Merci de cet instant jeune fille qui m’a sourie.

 


 
 
 

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