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Au bout du chemin...

le 17-02-2009 17:01

Beauté Macabre...

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Les vers rongent ma vie,
Et dans l'espoir je vis
D'être enfin moi,
Et la lune se moque de moi.

Journé radieuse,
Voix miléleuse,
Qui es tu ma douce ?
Et pourquoi est ce que tu me pousses ?

La pouriture et les rats,
Les inocents, on me regretetra...
Et la mort, qui sans cesse m'appelle,
Ais je envi d'Elle ?

Macabre beauté,
Tu n'es que cruauté
Vices et pouritures.
Mais je ne suis qu'une ordure.

Tu le sais,
Je ne suis pas né
Pour vivre;
Je ne suis qu'un pauvre ivre.

Tristesse et mélancolie,
Voici pour vous mes deux amis
Gloire à ceux qui souffrent
Misères à ceux qui s'ouvrent.



Qui saigne
Et dans son sang se baigne,
A put trouver les vérité
Qui nous font sans cesse avancer.

Je ne peux pas vous dire d'aimer
Car la cruauté vous soumet.
Voici pour vous mes aimées;
La macabre Beauté...


 


Commentaires

 

1. ALDRYA  le 17-02-2009 à 16:41:02  (site)

salu a toi,
c tres joli
magicalement ALDRYA

2. Ta choupinette d'amour =)  le 18-02-2009 à 16:52:25  (site)

Je vais t'avouer quelque chose, je crois que de tous les poèmes que tu as pu me faire lire, c'est bien celui là que je préfère. Je ne saurais pas trop te dire pourquoi, simplement il a touché mon âme... (et c'est vrai Langue ) J'adore vraiment ton style d'écriture...

Mais d'où te vient cette inspiration ... ? Voilà la question du jour ^^

 
 
 
le 13-02-2009 17:39

À celle qui un jour fit battre mon cœur plus fort.

Je sais pourquoi je t’aime,
Je le découvre ce soir presque par hasard,
Mon cœur pulse son sang dans mes veines,
J’ai vu l’aube de notre histoire.



Alors, j’écris le mélange de mon âme
Qui aurait voulu partager ta vie,
Car au plus profond des océans vit une femme
Qui ne peut être que toi et entre dans mes envies.



Accompagne mon regard
Car ce soir mon cœur se sent si seul,
Il faut que l’on se dise que je t’aime par hasard,
Que j’ai bel et bien enterré ma vie et que j’en fais le deuil.



Regarde dehors et suis de tes beaux yeux
Les larmes de ce Dieu qui se sent triste,
Écoute ce rythme caché et vieux
Que pulse le centre de mon être, ce soir, c’est son amour qu’il risque.



Ici, que veux tu que je fasse ?
Sans toi, il n’y a plus d’amour ni d’espoir,
J’ai la voix qui se brise et mon âme qui se casse,
Une silhouette qui s’éloigne, je continus de te voir.



 


Commentaires

 

1. Alexia L  le 15-02-2009 à 08:23:41

Belle déclaration d'amour... Comme quoi, parfois les mots peuvent être plus beaux que les gestes ! Même si tout le monde sait que parfois ils peuvent aussi blesser violemment.... Mais au fond, c'est ainsi qu'on se sent vivre... Souffrir et vivre... Voilà notre destinée.

 
 
 
le 13-02-2009 17:31

Deux anges qui se rencontrent…

Il n’avait qu’une envie, l’aimer,
Elle n’avait qu’un cœur en cendre,
Son âme, il voulait la vendre,
Son cœur, elle voulait lui donner.

Les ailes brûlées vives,
Les deux anges au corps brisés
Qu’une simple envie de s’embraser
Rendait leur esprit ivre.

Nulle lune pour les voir,
Seulement l’immense et immuable ombre,
Il la regardait, rendu fou de son regard dur et sombre,
Qui aurait pu y croire ?

Que le partage des âmes est invincible,
Que l’Amour immortel est sanglant,
Que dans ce gouffre gluant
Ils pouvaient s’aimer au-delà du possible.



Eux,
Pas de frontière,
Pas trop de lumière
Et seulement deux amoureux.

Présence fatidique
De celle qui fait trembler les vents,
Celle qui haït les amants
Et qui ne sait pas tellement que l’amour est véridique.
 


Commentaires

 

1. Alexia L  le 15-02-2009 à 08:24:54

Oh, ce poème me dit quelque chose... Comme une petite feuille mystèrieuse dont je n'ai aps eu le droit de lire ce qui était écrit derrière... Entretenir le mystère est un bon choix Clin doeil

 
 
 
le 09-02-2009 17:20

Mon illusion...

 
 

 
 
 
Mon illusion à moi,
C’était toi.
Et un jour elle m’a vu,
Et j’ai ouvert mon cœur, cru.



Elle a mis sa main dans la mienne,
Et je lui ai chuchoté qu’elle était sienne,
Tu savais m’inonder d’un amour
Fou d’aimer sans retour.



Trouver un abris
Où chaque jour je m’étais épris,
De sa peine plus profonde
Parce qu’elle porte le monde.



Je suis allé au bout de moi,
Chaque parcelle de mon être était en émoi,
Et un jour cette jeune femme,
A osé et ouvert plus grand son âme.



J’ai vu des nuits blanche,
Et vu mes illusions en avalanche,
Cascader au-delà de cet horizon,
Au grand malheur de son nom.

Je t’en pris,
Je ne veux pas avoir le cœur contrit,
Et ne pas te voir pleurer des larmes d’or,
Je voudrai ne plus rien voir et affronter enfin le bord.



Laisse moi une chance,
Et ne pas faire le Méchant de ma violence,
Car je t’offrirai des perles de pluie
Quitte à creuser la terre pour recouvrir ma vie.



Le sang et l’ombre,
J’avais promis de t’écouter et te voir tout contre,
Tes yeux dans les miens
Allez, angélique dame, viens…
 


Commentaires

 

1. stephy46  le 10-02-2009 à 03:37:34  (site)

Je te souhaite la bienvenue parmi nous et bonne continuation à ton joli blog.
Je te souhaite une bonne journée. Bisous.

2. Alexia...  le 11-02-2009 à 18:52:01

La plus belle des illusions est celle qui restera toujours au chaud, là, dans ton coeur... Intouchée, encore vierge de ce monde qui détruit tout... Ne prends pas le risque de briser ces illusions, faconne les avec toute la passion dont je te sais dévoré! Et continue a écrire!! J'aime beaucoup tes poèmes =)

3. samiamax  le 19-02-2009 à 00:23:13

Que de beaux poèmes sur ton blog, mais il faut que je revienne pour les lire, il fait tard maintenant, bonne nuit et merci de ta visite sur mon blog

 
 
 
le 09-02-2009 12:53

Parti pour ne jamais revenir...

 
 

 

 

Le Désert s’étend devant moi,
Je me sens si calme comme la mer,
Et il ne manque à mon bonheur plus que toi,
Tu aurais pu m’aimer un peu plus mon Père…



Une épée qui tranchait les vies,
Un Amour plus fort que mon bouclier,
Une chaîne, lourde de mil cris,
Des pleurs qui savaient saigner.



La douceur de sa figure,
La magnifique couleur de ses yeux,
L’onde de son âme si pure,
Sa Légende, dépassant de loin le merveilleux.



Un cœur de Pierre,
Je t’aimais du plus profond de mon ombre noire,
Tu me regardais et alors j’étais si fier,
La mort pourtant l’a laissé choir.



Entends les tambours de tous ces êtres qui tremblent,
On souffre sous les coups des martyrs
Mais tous ensemble on se ressemble,
Éternels ! Mes frères à nourrir.

Un empire tout à moi,
Je vous l’ai dis, je sais me battre !
Et plus encore, j’ai la foi
D’aimer sans jamais me laisser abattre.



De l’Orient à l’Occident,
De l’est à l’Eden,
Tout le Peuple libre saura qui se bat pour vivre librement,
La foudre et le Tonnerre savent enfin que j’aime.



L’or ne coule plus dans les rivières,
Un sang épais et écarlate rugit
Comme le bruissement sadique des civières,
Des milliers d’esclaves, un seul survit.



Le crâne qui s’ouvre
Et d’un pur gésier la vie s’évapore,
L’Obscur linceul, comme la brume le recouvre,
Un chant étrange et le visage de celle qui se nomme la Mort.

 


Commentaires

 

1. choupy94  le 09-02-2009 à 12:16:24  (site)

bienvenu parmi nous
trés joli texte.
amicalement
annie

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2. Ton chou  le 14-02-2009 à 16:59:09

Toujours pas de nouveau poème... Bonne st valentin à toi!! =)

 
 
 
 

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